GRANULOME PYOGÉNIQUE
Souvent secondaire à un traumatisme minime, le granulome pyogénique, également appelé botriomycome, est un nodule capillaire bénin qui se limite à la peau et aux muqueuses.
Cette lésion vasculaire fréquente ne présente aucun risque de cancer et peut être diagnostiquée par un simple examen de la peau.
Cette maladie vasculaire peut embarrasser le patient pour sa sensibilité douloureuse au toucher et son aspect déplaisant.
Lorsque le granulome pyogénique se situe dans la cavité buccale, la difficulté à garder une bonne hygiène orale s’ajoute aux inconvénients que peut entraîner ce nodule.
Le granulome pyogénique peut apparaître à tout âge après un traumatisme mineur.
Il apparaît le plus souvent chez les enfants, les jeunes hommes et les femmes enceintes.
Après 40 ans, la prédominance de genre n’est plus marquée.
Le granulome pyogénique est cliniquement reconnaissable. Habituellement, la lésion se manifeste seule.
Elle se caractérise par un amas de vaisseaux plus ou moins arrondi pouvant atteindre plusieurs centimètres en quelques semaines.
Le granulome à tendance à saigner facilement.
Le granulome pyogénique est le plus souvent localisé au niveau des lèvres, du larynx, de la bouche et des extrémités (des mains et des pieds).
Il n’y a pas de cause évidente au granulome pyogénique. Il peut apparaître après un traumatisme mineur récent de la peau comme :
- Une piqûre d’insecte.
- Une égratignure.
- Un piercing.
- Une infection (staphylococcus aureus).
- Une influence hormonale.
- Une prise de certains traitements médicamenteux (rétinoïdes oraux, inhibiteurs de la protéase, immunosuppresseurs, antirétroviraux…).
Le granulome pyogénique peut être associé avec l’angiome plan.
Le granulome pyogénique peut être confondu avec d’autres pathologies comme : le mélanome amélanotique, le sarcome de kaposi, l’adénocarcinome, le carcinome basocellulaire, la tumeur glomique, l’hémangiome, le cancer épidermoïde, la verrue ou l’angiomatose bacillaire, car leur aspect clinique et leur localisation sont similaires.
Il est fortement conseillé de faire un examen de la peau pour être sûr de traiter la bonne pathologie.
Souvent secondaire à un traumatisme minime, le granulome pyogénique, également appelé botriomycome, est un nodule capillaire bénin qui se limite à la peau et aux muqueuses.
Cette lésion vasculaire fréquente ne présente aucun risque de cancer et peut être diagnostiquée par un simple examen de la peau.
Cette maladie vasculaire peut embarrasser le patient pour sa sensibilité douloureuse au toucher et son aspect déplaisant.
Lorsque le granulome pyogénique se situe dans la cavité buccale, la difficulté à garder une bonne hygiène orale s’ajoute aux inconvénients que peut entraîner ce nodule.
Le granulome pyogénique peut apparaître à tout âge après un traumatisme mineur.
Il apparaît le plus souvent chez les enfants, les jeunes hommes et les femmes enceintes.
Après 40 ans, la prédominance de genre n’est plus marquée.
Le granulome pyogénique est cliniquement reconnaissable. Habituellement, la lésion se manifeste seule.
Elle se caractérise par un amas de vaisseaux plus ou moins arrondi pouvant atteindre plusieurs centimètres en quelques semaines.
Le granulome à tendance à saigner facilement.
- Le granulome pyogénique est le plus souvent localisé au niveau des lèvres, du larynx, de la bouche et des extrémités (des mains et des pieds).
Il n’y a pas de cause évidente au granulome pyogénique. Il peut apparaître après un traumatisme mineur récent de la peau comme :
- Une piqûre d’insecte.
- Une égratignure.
- Un piercing.
- Une infection (staphylococcus aureus).
- Une influence hormonale.
- Une prise de certains traitements médicamenteux (rétinoïdes oraux, inhibiteurs de la protéase, immunosuppresseurs, antirétroviraux…).
Le granulome pyogénique peut être associé avec l’angiome plan.
Le granulome pyogénique peut être confondu avec d’autres pathologies comme : le mélanome amélanotique, le sarcome de kaposi, l’adénocarcinome, le carcinome basocellulaire, la tumeur glomique, l’hémangiome, le cancer épidermoïde, la verrue ou l’angiomatose bacillaire, car leur aspect clinique et leur localisation sont similaires.
Il est fortement conseillé de faire un examen de la peau pour être sûr de traiter la bonne pathologie.
La chirurgie est la méthode de traitement habituelle pour le granulome pyogénique. Cette méthode laisse systématiquement une cicatrice sur la peau.
Dans le Centre Esthétique et Laser Gramont, un laser vasculaire est utilisé pour traiter ce type de lésion cutanée.
Description du traitement
Le laser vasculaire Nd-YAG offre une pénétration en profondeur plus importante que tous les autres types de lasers vasculaires (1064 nm). Il est efficace pour chauffer de gros vaisseaux, les vaisseaux rouges comme les bleutés de façon plus homogène.
En quelques séances, la lésion à traiter est éliminée par une succession de tirs lasers répartis de proche en proche.
Traitement d’attaque
- 1 à 4 séances espacées de 3 à 4 semaines.
La séance type du traitement d’un granulome pyogénique par laser se déroule de la manière suivante :
- Tout d’abord, la zone à traiter est nettoyée.
- Le praticien prend des photographies pour suivre la progression de la lésion tout au long du traitement.
- Le praticien prépare une anesthésie infiltrante locale contenant 2% de xylocaïne adrénalinée.
- Des tirs lasers successifs sur l’ensemble de la lésion sont effectués.
- Dans la même séance la lésion peut changer d’état comme le fait de rétrécir, éclater puis saigner. Le but de la séance est d’atteindre le point final c’est-à-dire le rétrécissement complet de la tumeur et l’arrêt du saignement de façon naturelle (hémostase).
Après
- Si la lésion se met à saigner, utiliser un moyen de compression.
- Pendant 1 semaine, appliquer 2 à 3 fois par jour une crème cicatrisante du type Cytolnat Centella, Aloe Vera, cicaplast baume B5 ou cicalfate et une crème contenant du dexpanthénol comme le Bepanthen ung.
La chirurgie est la méthode de traitement habituelle pour le granulome pyogénique. Cette méthode laisse systématiquement une cicatrice sur la peau.
Dans le Centre Esthétique et Laser Gramont, un laser vasculaire est utilisé pour traiter ce type de lésion cutanée.
Description du traitement
Le laser vasculaire Nd-YAG offre une pénétration en profondeur plus importante que tous les autres types de lasers vasculaires (1064 nm). Il est efficace pour chauffer de gros vaisseaux, les vaisseaux rouges comme les bleutés de façon plus homogène.
En quelques séances, la lésion à traiter est éliminée par une succession de tirs lasers répartis de proche en proche.
Traitement d’attaque
- 1 à 4 séances espacées de 3 à 4 semaines.
La séance type du traitement d’un granulome pyogénique par laser se déroule de la manière suivante :
- Tout d’abord, la zone à traiter est nettoyée.
- Le praticien prend des photographies pour suivre la progression de la lésion tout au long du traitement.
- Le praticien prépare une anesthésie infiltrante locale contenant 2% de xylocaïne adrénalinée.
- Des tirs lasers successifs sur l’ensemble de la lésion sont effectués.
- Dans la même séance la lésion peut changer d’état comme le fait de rétrécir, éclater puis saigner. Le but de la séance est d’atteindre le point final c’est-à-dire le rétrécissement complet de la tumeur et l’arrêt du saignement de façon naturelle (hémostase).
Après
- Si la lésion se met à saigner, utiliser un moyen de compression.
- Pendant 1 semaine, appliquer 2 à 3 fois par jour une crème cicatrisante du type Cytolnat Centella, Aloe Vera, cicaplast baume B5 ou cicalfate et une crème contenant du dexpanthénol comme le Bepanthen ung.
En quelques séances, une guérison complète, rapide et sans cicatrice résiduelle est obtenue. Deux semaines après la dernière séance, le résultat peut être considéré comme définitif.
- Des sensations de chaleur quelques heures après le traitement, qui n’excèdent pas plus de 2 jours.
- Des petites croûtes sont généralement fréquentes le lendemain de la séance.
- La lésion noircit ou devient grise.
- Des rougeurs et des gonflements peuvent survenir.
- Grossesse.
Antécédents cutanés
- Exposition au soleil ou UV importante récente, bronzage, utilisation d’autobronzant.
- Infection cutanée, plaie ou brûlure dans la zone à traiter.
- Lésion cutanée active (eczéma, dermatite, psoriasis) dans la zone à traiter.
- Trouble de la pigmentation.
- Tatouage ou maquillage permanent.
Antécédents Infectieux
- Fièvre le jour de la séance ou les jours avant.
- Pathologie infectieuse aigüe (bronchite, sinusite, angine, etc).
- Corticothérapie au long cours avec troubles trophiques secondaires.
Contre-indications liées aux granulomes pyogéniques
- Doute quant à la nature de la lésion.
- Des sensations de chaleur quelques heures après le traitement, qui n’excèdent pas plus de 2 jours.
- Des petites croûtes sont généralement fréquentes le lendemain de la séance.
- La lésion noircit ou devient grise.
- Des rougeurs et des gonflements peuvent survenir.
- Grossesse.
Antécédents cutanés
- Exposition au soleil ou UV importante récente, bronzage, utilisation d’autobronzant.
- Infection cutanée, plaie ou brûlure dans la zone à traiter.
- Lésion cutanée active (eczéma, dermatite, psoriasis) dans la zone à traiter.
- Trouble de la pigmentation.
- Tatouage ou maquillage permanent.
Antécédents Infectieux
- Fièvre le jour de la séance ou les jours avant.
- Pathologie infectieuse aigüe (bronchite, sinusite, angine, etc).
- Corticothérapie au long cours avec troubles trophiques secondaires.
Contre-indications liées aux granulomes pyogéniques
- Doute quant à la nature de la lésion.
Rapide.
Cicatrisation rapide et aucune suture.
Pas de marques résiduelles.
