ÉPILATION ÉLECTRIQUE

séances.

séance ponctuellement.

saisons.
Le rituel de l’épilation n’est pas le moment le plus agréable de la routine beauté et pourtant, depuis des millénaires, les hommes et les femmes s’y soumettent pour enlever leurs poils.
À ce jour, il existe de nombreuses façons de se débarrasser des poils en fonction du temps et du seuil de douleur de chacun.
Au Centre Esthétique & Laser Gramont, nous proposons une solution définitive pour ne plus perdre de temps à épiler les poils : l’épilation électrique.
Le concept d’épilation électrique nait au 18ème siècle. Aux débuts de son utilisation, c’est une pratique médicale visant à traiter des cils dans le cadre du trichiasis. Avec le temps, les praticiens se sont rendu compte qu’elle pouvait également servir en médecine esthétique de façon plus large.
Luigi Galvani, physicien italien, s’intéresse à l’impact de l’électricité sur les muscles des membres inférieurs des grenouilles.
C’est la première fois que l’électricité est utilisée pour traiter un patient. L’ophtalmologue américain Charles Michel s’en sert pour traiter un trichiasis (cils qui poussent vers l’œil et frottent sur la cornée). Chaque cil est éliminé en 20 secondes et permet ainsi au patient de ne plus sentir le frottement du cil sur la cornée.
La possibilité de destruction des poils par le courant et la chaleur est découverte par le dr Jacques d’Arsonval.
L’électrolyse à plusieurs aiguilles est inventée par le Professeur Kree.
Le docteur Bordier provoque une révolution en inventant une aiguille isolée en acier trempé.
Le docteur Peytoureau développe une technique encore plus performante que l’électrolyse galvanique : la thermolyse électrique.
Une nouvelle évolution importante est découverte par Henri de Saint-Pierre et Arthur Henkel. Ils trouvent le moyen d’associer courant galvanique et courant de haute fréquence. De leur découverte naît l’electroblend.
Des microprocesseurs sont intégrés aux appareils. Ces microprocesseurs permettent d’adapter le courant électrique à l’usage. Grâce à cette régulation, la qualité d’épilation est améliorée et le praticien a un meilleur contrôle sur la douleur provoquée.
L’épilation électrique élimine toutes les sortes de poils sur toutes les zones et toutes les carnations. Il n’y a pas de réelle restriction d’âge : les adolescents peuvent aussi se soumettre au traitement (avec accord de leurs parents). En revanche, l’épilation électrique n’est pas pratiquée sur les enfants et les adolescents prépubères.
Ce type d’épilation peut compléter une épilation par faisceaux lumineux (laser ou LPI). Après un cycle complet d’épilation au laser, il n’est pas rare de voir certains poils subsister. Ils sont en général plus fins et éparpillés sur les zones épilées. Ayant déjà été traités, ils ne seront pas sensibles à une nouvelle exposition au laser. Dans ce cas de figure, l’épilation électrique est la solution adéquate pour se débarrasser de ces poils résistants.
C’est aussi un moyen sûr d’épiler dans le cas où le laser est contre-indiqué par exemple.
L’épilation électrique est aussi particulièrement indiquée dans le traitement de la repousse paradoxale. On parle de repousse ou de stimulation paradoxale lorsqu’à proximité d’une zone épilée (au laser, à la main…), des poils à l’origine invisibles, se convertissent en poils définitifs.
Ce phénomène concerne 10% des cas et peut apparaître dès la 3ème séance ou 6 mois après le traitement. Les zones dites de stimulation hormonale sont les plus enclines à la repousse paradoxale. En règle générale, il est conseillé de choisir l’épilation électrique pour ces zones. En seulement une poignée de séances, ces poils pourront être enlevés.
Bien que l’origine de la repousse paradoxale reste inconnue, certains facteurs favorisent son apparition :
- Phototypes les plus foncés.
- Troubles hormonaux.
- Poils sentinelles (poils solitaires dans une zone duveteuse).
- Laser réglé trop faiblement pour l’épilation.
Le concept d’épilation électrique nait au 18e siècle. Aux débuts de son utilisation, c’est une pratique médicale visant à traiter des cils dans le cadre du trichiasis. Avec le temps, les praticiens se sont rendu compte qu’elle pouvait également servir en médecine esthétique de façon plus large.
1781
Luigi Galvani, physicien italien, s’intéresse à l’impact de l’électricité sur les muscles des membres inférieurs des grenouilles.
1875
C’est la première fois que l’électricité est utilisée pour traiter un patient. L’ophtalmologue américain Charles Michel s’en sert pour traiter un trichiasis (cils qui poussent vers l’œil et frottent sur la cornée). Chaque cil est éliminé en 20 secondes et permet ainsi au patient de ne plus sentir le frottement du cil sur la cornée.
1890
La possibilité de destruction des poils par le courant et la chaleur est découverte par le dr Jacques d’Arsonval.
1915
L’électrolyse à plusieurs aiguilles est inventée par le Professeur Kree.
1923
Le docteur Bordier provoque une révolution en inventant une aiguille isolée en acier trempé.
1938
Le docteur Peytoureau développe une technique encore plus performante que l’électrolyse galvanique : la thermolyse électrique.
1948
Une nouvelle évolution importante est découverte par Henri de Saint-Pierre et Arthur Henkel. Ils trouvent le moyen d’associer courant galvanique et courant de haute fréquence. De leur découverte naît l’electroblend.
Depuis 1995
Des microprocesseurs sont intégrés aux appareils. Ces microprocesseurs permettent d’adapter le courant électrique à l’usage. Grâce à cette régulation, la qualité d’épilation est améliorée et le praticien a un meilleur contrôle sur la douleur provoquée.
L’épilation électrique élimine toutes les sortes de poils sur toutes les zones et toutes les carnations. Il n’y a pas de réelle restriction d’âge : les adolescents peuvent aussi se soumettre au traitement (avec accord de leurs parents). En revanche, l’épilation électrique n’est pas pratiquée sur les enfants et les adolescents prépubères.
Ce type d’épilation peut compléter une épilation par faisceaux lumineux (laser ou LPI). Après un cycle complet d’épilation au laser, il n’est pas rare de voir certains poils subsister. Ils sont en général plus fins et éparpillés sur les zones épilées. Ayant déjà été traités, ils ne seront pas sensibles à une nouvelle exposition au laser. Dans ce cas de figure, l’épilation électrique est la solution adéquate pour se débarrasser de ces poils résistants.
C’est aussi un moyen sûr d’épiler dans le cas où le laser est contre-indiqué par exemple.
L’épilation électrique est aussi particulièrement indiquée dans le traitement de la repousse paradoxale. On parle de repousse ou de stimulation paradoxale lorsqu’à proximité d’une zone épilée (au laser, à la main…), des poils à l’origine invisibles, se convertissent en poils définitifs.
Ce phénomène concerne 10% des cas et peut apparaître dès la 3ème séance ou 6 mois après le traitement. Les zones dites de stimulation hormonale sont les plus enclines à la repousse paradoxale. En règle générale, il est conseillé de choisir l’épilation électrique pour ces zones. En seulement une poignée de séances, ces poils pourront être enlevés.
Bien que l’origine de la repousse paradoxale reste inconnue, certains facteurs favorisent son apparition :
- Phototypes les plus foncés.
- Troubles hormonaux.
- Poils sentinelles (poils solitaires dans une zone duveteuse).
- Laser réglé trop faiblement pour l’épilation.
- Toutes les parties du corps (sauf les orteils et es doigts) peuvent être épilées par épilation électrique.
Il est recommandé de choisir l’épilation électrique pour les épilations du visage car il n’y a pas de risques de stimulation paradoxale (pour les femmes).
Le cycle pilaire
Le cycle de vie du poil se décompose en 3 phases :
- Anagène – phase de croissance.
- Catagène – phase de repos cellulaire.
- Télogène – fin de vie.
Contrairement aux épilations par faisceaux lumineux laser ou lumière pulsée, qui ne sont efficaces qu’en phase anagène et avec un taux suffisant de mélanine dans le poil, l’épilation électrique fonctionne indépendamment de la couleur ou de la maturité du poil.
La praticienne insère une aiguille – dite filament – dans l’axe de la tige pilaire pour détruire la structure du poil. La destruction est due au courant électrique faible véhiculé par le filament dans la tige. La diffusion du courant électrique ne dure qu’une seconde.
La thermolyse
L’épilation électrique au Centre Esthétique & Laser Gramont se fait par thermolyse.
Un courant haute fréquence est envoyé à travers l’électrode. Physiologiquement, le courant déclenche une agitation des molécules et de la chaleur (de 48 à 50°C). Cette chaleur provoque la destruction des protéines contenues dans le tissu. C’est ce phénomène qu’on appelle la thermolyse ou thermo-coagulation.
Il existe deux sous procédés en thermolyse :
Électro-dessication : technique rapide
- Flash (1/10 à 2/10 de secondes)
- Super flash (1/100 à 9/100 de secondes).
Électro-dessication : technique rapide
- Flash (1/10 à 2/10 de secondes)
- Super flash (1/100 à 9/100 de secondes).
Cette méthode, elle, fonctionne bien sur les poils fins à très fins.
Les aiguilles utilisées pour l’épilation électrique sont désignées par les termes « électrodes » ou « filaments ». Ces aiguilles stériles sont à usage unique.
Différents formats sont disponibles à l’utilisation : la praticienne se base sur l’analyse du poil pour choisir l’électrode adéquate et la puissance du courant.
Concrètement, la praticienne insère le filament dans l’axe de la tige pilaire jusqu’à buter sur le bulbe. Après le passage du courant, le poil est extrait sans difficulté avec une pince à épiler.
- 10 à 15 séances assez rapprochées pour commencer. Il n’y a pas d’intervalle spécifique entre deux séances : tout dépend du nombre de poils et de la rapidité de repousse.
- De 10minutes à 2 heures, en fonction de la zone de traitement.
- Un traitement peut être nécessaire de façon ponctuelle pour quelques poils rebelles.
Pour obtenir des résultats satisfaisants, il est important d’aller jusqu’au bout du protocole de traitement.
Le premier rendez-vous consiste en une consultation pré-traitement
- Pour effectuer l’épilation électrique, la consultation d’information est obligatoire.
- Cette consultation permet aussi de dépister de possibles troubles hormonaux et de vérifier qu’il n’existe pas de contre-indications.
- Des documents tels que le consentement éclairé et le questionnaire médical seront à remplir et à lire attentivement.
Le deuxième rendez-vous lance le processus
La séance d’épilation en elle-même suit un protocole précis. La durée des séances en dehors de la quantité de poils à épiler dépend entièrement du patient et de sa résistance :
- Avant tout, la praticienne désinfecte la peau et retire la crème anesthésiante (si elle est appliquée).
- L’anesthésie locale est réalisée au besoin avec de la xylocaïne.
- En fonction de l’étude du type de poil, la praticienne choisit le procédé et les filaments appropriés. Les paramètres de la machine sont adaptés à chaque cas. Il est possible que la praticienne ait à ajuster l’intensité électrique au cours du traitement si elle n’est pas suffisante.
- Il faut étirer ou pincer la peau afin de déterminer l’orientation de la tige pilaire. Le filament à usage unique est ensuite inséré dans le bon axe jusqu’à buter sur le fond du poil.
- La praticienne commence par les poils les plus visibles puis les poils les moins problématiques.
- L’impulsion électrique délivrée échauffe le poil et le détruit en douceur.
- Le poil est facilement retiré à la pince à épiler.
Comment organiser les rendez-vous d’épilation électrique ?
Deux choix s’offrent à vous :
- Il est possible de décider de venir souvent pour des séances « courtes ».
- Ou bien de venir tous les mois pour de longues séances qui permettent d’épiler les poils d’une zone entière en une seule fois.
Avant
- Ne surtout pas s’épiler ! Il est possible de couper les poils à ras, mais il est primordial que les poils soient accessibles à la pince à épiler.
- Ne pas s’exposez pas au soleil ou aux UV pendant 2 jours avant la séance.
Après
Pendant 24-48h au moins :
- Ne pas utiliser de maquillage, savons parfumés ou de parfums : il existe un risque d’allergies.
- En cas d’épilation des aisselles, ne pas utiliser d’anti-transpirants ou de déodorants.
- Ne pas mettre d’alcool sur les zones épilées.
- Dans la mesure du possible, ne pas prendre de bains ou de douches chaudes.
- Éviter les hammams et saunas.
Puis :
- Éviter le soleil / UV et utiliser une crème solaire SPF50+ 3 fois par jour, même à la maison ! À cette crème solaire, associer une crème cicatrisante tant que la cicatrisation n’est pas complète.
- Tout au long du traitement, veiller à bien hydrater les zones épilées.
- Attention, ne pas « sur » épiler la zone traitée par une autre technique. En cas de besoin, couper le poil à ras.
Le cycle pilaire
Le cycle de vie du poil se décompose en 3 phases :
- Anagène – phase de croissance.
- Catagène – phase de repos cellulaire.
- Télogène – fin de vie.
Contrairement aux épilations par faisceaux lumineux laser ou lumière pulsée, qui ne sont efficaces qu’en phase anagène et avec un taux suffisant de mélanine dans le poil, l’épilation électrique fonctionne indépendamment de la couleur ou de la maturité du poil.
La praticienne insère une aiguille – dite filament – dans l’axe de la tige pilaire pour détruire la structure du poil. La destruction est due au courant électrique faible véhiculé par le filament dans la tige. La diffusion du courant électrique ne dure qu’une seconde.
La thermolyse
L’épilation électrique au Centre Esthétique & Laser Gramont se fait par thermolyse.
Un courant haute fréquence est envoyé à travers l’électrode. Physiologiquement, le courant déclenche une agitation des molécules et de la chaleur (de 48 à 50°C). Cette chaleur provoque la destruction des protéines contenues dans le tissu. C’est ce phénomène qu’on appelle la thermolyse ou thermo-coagulation.
Il existe deux sous procédés en thermolyse :
L’électrocoagulation : technique lente (4/10 à 2 secondes)
- La température monte en moyenne jusqu’à 53°C dans les tissus.
- Cette méthode fonctionne bien sur les poils moyens à gros.
Électro-dessication : technique rapide
- Flash (1/10 à 2/10 de secondes)
- Super flash (1/100 à 9/100 de secondes).
Cette méthode, elle, fonctionne bien sur les poils fins à très fins.
Les aiguilles utilisées pour l’épilation électrique sont désignées par les termes « électrodes » ou « filaments ». Ces aiguilles stériles sont à usage unique.
Différents formats sont disponibles à l’utilisation : la praticienne se base sur l’analyse du poil pour choisir l’électrode adéquate et la puissance du courant.
Concrètement, la praticienne insère le filament dans l’axe de la tige pilaire jusqu’à buter sur le bulbe. Après le passage du courant, le poil est extrait sans difficulté avec une pince à épiler.
Combien de séances ?
- 10 à 15 séances assez rapprochées pour commencer. Il n’y a pas d’intervalle spécifique entre deux séances : tout dépend du nombre de poils et de la rapidité de repousse.
Quelle durée ?
- De 10 minutes à 2 heures, en fonction de la zone de traitement.
Traitement d’entretien ?
Un traitement peut être nécessaire de façon ponctuelle pour quelques poils rebelles.
Pour obtenir des résultats satisfaisants, il est important d’aller jusqu’au bout du protocole de traitement.
Le premier rendez-vous consiste en une consultation pré-traitement
- Pour effectuer l’épilation électrique, la consultation d’information est obligatoire.
- Cette consultation permet aussi de dépister de possibles troubles hormonaux et de vérifier qu’il n’existe pas de contre-indications.
- Des documents tels que le consentement éclairé et le questionnaire médical seront à remplir et à lire attentivement.
Le deuxième rendez-vous lance le processus
La séance d’épilation en elle-même suit un protocole précis. La durée des séances en dehors de la quantité de poils à épiler dépend entièrement du patient et de sa résistance :
- Avant tout, la praticienne désinfecte la peau et retire la crème anesthésiante (si elle est appliquée).
- L’anesthésie locale est réalisée au besoin avec de la xylocaïne.
- En fonction de l’étude du type de poil, la praticienne choisit le procédé et les filaments appropriés. Les paramètres de la machine sont adaptés à chaque cas. Il est possible que la praticienne ait à ajuster l’intensité électrique au cours du traitement si elle n’est pas suffisante.
- Il faut étirer ou pincer la peau afin de déterminer l’orientation de la tige pilaire. Le filament à usage unique est ensuite inséré dans le bon axe jusqu’à buter sur le fond du poil.
- La praticienne commence par les poils les plus visibles puis les poils les moins problématiques.
- L’impulsion électrique délivrée échauffe le poil et le détruit en douceur.
- Le poil est facilement retiré à la pince à épiler.
Comment organiser les rendez-vous d’épilation électrique ?
Deux choix s’offrent à vous :
- Il est possible de décider de venir souvent pour des séances « courtes ».
- Ou bien de venir tous les mois pour de longues séances qui permettent d’épiler les poils d’une zone entière en une seule fois.
AVANT
- Ne surtout pas s’épiler ! Il est possible de couper les poils à ras, mais il est primordial que les poils soient accessibles à la pince à épiler.
- Ne pas s’exposez pas au soleil ou aux UV pendant 2 jours avant la séance.
APRÈS
Pendant 24-48h au moins :
- Ne pas utiliser de maquillage, savons parfumés ou de parfums : il existe un risque d’allergies.
- En cas d’épilation des aisselles, ne pas utiliser d’anti-transpirants ou de déodorants.
- Ne pas mettre d’alcool sur les zones épilées.
- Dans la mesure du possible, ne pas prendre de bains ou de douches chaudes.
- Éviter les hammams et saunas.
Puis :
- Éviter le soleil / UV et utiliser une crème solaire SPF50+ 3 fois par jour, même à la maison ! À cette crème solaire, associer une crème cicatrisante tant que la cicatrisation n’est pas complète.
- Tout au long du traitement, veiller à bien hydrater les zones épilées.
- Attention, ne pas « sur » épiler la zone traitée par une autre technique. En cas de besoin, couper le poil à ras.
Les résultats sont immédiats ! À la fin de la séance d’épilation électrique, il n’y a plus de poils sur la zone traitée, selon le temps de la séance.
Pas de craintes, il est normal de voir quelques poils apparaitre les jours après le traitement. Le cycle pilaire n’étant pas le même pour tous les poils, ceux qui étaient prêts à percer à travers l’épiderme émergent après l’épilation.
Chaque patient est différent et la rapidité des résultats dépend de :
- L’âge.
- Des épilations précédentes.
- Du temps de repousse.
- De l’intervalle entre chaque rendez-vous.
- La durée des séances.
Après l’épilation électrique, la repousse peut être influencée par la présence de poils compliqués à retirer ou un trouble hormonal.
Les résultats sont immédiats ! À la fin de la séance d’épilation électrique, il n’y a plus de poils sur la zone traitée, selon le temps de la séance.
Pas de craintes, il est normal de voir quelques poils apparaitre les jours après le traitement. Le cycle pilaire n’étant pas le même pour tous les poils, ceux qui étaient prêts à percer à travers l’épiderme émergent après l’épilation.
Chaque patient est différent et la rapidité des résultats dépend de :
- L’âge.
- Des épilations précédentes.
- Du temps de repousse.
- De l’intervalle entre chaque rendez-vous.
- La durée des séances.
Après l’épilation électrique, la repousse peut être influencée par la présence de poils compliqués à retirer ou un trouble hormonal.
Effets secondaires attendus sans gravité (sans traitement ou traitement simple)
Les effets secondaires d’une épilation électrique sont pour la plupart passagers.
- Douleurs : au déclenchement du courant électrique, il est possible de ressentir comme un claquement léger sur la peau. En cas de sensibilité, une crème anesthésiante peut être appliquée avant la séance. Une anesthésie locale par injection peut être proposée en cas de sensibilité importante.
- Œdème : en fonction de la puissance du courant, l’œdème est plus ou moins important.
- Hématome : si le filament est allé trop loin sous la peau, il peut provoquer un hématome.
- Croûtes : Dans de rares cas, des croûtes apparaissent et guérissent sans intervention au bout de 2 semaines. Pour accélérer le processus de guérison, utiliser une crème cicatrisante.
- Inflammation et rougeurs : temporaires, quelques heures seulement.
Effets secondaires abordés lord d’une consultation de suivi
- Cicatrices.
- Inflammation et rougeurs temporaires.
- Hyper ou hypopigmentation localisée : ce sont des atteintes temporaires, due à un paramétrage fort pour une sensibilité de peau trop importante. En quelques semaines, la peau reprend sa teinte normale.
Effets secondaires nécessitant une consultation « urgente » pour avis ou prescription médicale
- Herpès : toute intervention sur le visage peut provoquer une poussée d’herpès. Pour les éviter, évoquer de possibles antécédents pour pouvoir traiter préventivement.
- Folliculite réactionnelle : la folliculite se manifeste par une inflammation des follicules pileux. Cela arrive souvent sur les peaux grasses ou enclines à l’acné. Un antibiotique local ou par voie orale peut améliorer la situation.
Des précautions doivent être prises en cas de fragilité vasculaire, d’antécédents herpétiques au niveau de la zone traitée ou en cas d’allergie à un anesthésiant local.
L’épilation électrique est contre-indiquée dans les cas de :
- Grossesse.
Antécédents généraux
- Troubles immunitaires sévères.
- Diabète sévère non stabilisé.
- Cancer évolutif.
- Troubles de la coagulation.
- Pathologie infectieuse chronique non stabilisée (VIH, tuberculose).
- Fièvre dans les jours précédant le rendez-vous ou le jour même.
- Si vous êtes porteur d’un pacemaker.
Antécédents cutanés
- Infection, lésion, plaie… dans la zone que vous souhaitez épiler.
- Cancer de la peau.
- Bronzage récent.
- Problème de cicatrisation (chéloïdes ou cicatrices hypertrophiques).
Prise médicamenteuse
- Traitements limitant l’action de votre système immunitaire.
- Chimiothérapie.
- Corticoïdes pris sur de grandes périodes avec troubles cutanés secondaires.
Dans certains cas, il n’est pas possible d’utiliser la xylocaïne
- Troubles cardiaques ou traitement par bêtabloquants.
- Insuffisance rénale ou hépatique.
- Traitement par cimétidine.
- Porphyrie.
L’anesthésie locale se fait par lidocaïne (xylocaïne). Dans ces cas, elle ne sera pas pratiquée.
Effets secondaires attendus sans gravité (sans traitement ou traitement simple)
Les effets secondaires d’une épilation électrique sont pour la plupart passagers.
- Douleurs : au déclenchement du courant électrique, il est possible de ressentir comme un claquement léger sur la peau. En cas de sensibilité, une crème anesthésiante peut être appliquée avant la séance. Une anesthésie locale par injection peut être proposée en cas de sensibilité importante.
- Œdème : en fonction de la puissance du courant, l’œdème est plus ou moins important.
- Hématome : si le filament est allé trop loin sous la peau, il peut provoquer un hématome.
- Croûtes : Dans de rares cas, des croûtes apparaissent et guérissent sans intervention au bout de 2 semaines. Pour accélérer le processus de guérison, utiliser une crème cicatrisante.
- Inflammation et rougeurs : temporaires, quelques heures seulement.
Effets secondaires abordés lors d’une consultation de suivi
- Cicatrices.
- Inflammation et rougeurs temporaires.
- Hyper ou hypopigmentation localisée : ce sont des atteintes temporaires, due à un paramétrage fort pour une sensibilité de peau trop importante. En quelques semaines, la peau reprend sa teinte normale.
Effets secondaires nécessitant une consultation « urgente » pour avis ou prescription médicale
- Herpès : toute intervention sur le visage peut provoquer une poussée d’herpès. Pour les éviter, évoquer de possibles antécédents pour pouvoir traiter préventivement.
- Folliculite réactionnelle : la folliculite se manifeste par une inflammation des follicules pileux. Cela arrive souvent sur les peaux grasses ou enclines à l’acné. Un antibiotique local ou par voie orale peut améliorer la situation.
Des précautions doivent être prises en cas de fragilité vasculaire, d’antécédents herpétiques au niveau de la zone traitée ou en cas d’allergie à un anesthésiant local.
L’épilation électrique est contre-indiquée dans les cas de :
- Grossesse.
Antécédents généraux
- Troubles immunitaires sévères.
- Diabète sévère non stabilisé.
- Cancer évolutif.
- Troubles de la coagulation.
- Pathologie infectieuse chronique non stabilisée (VIH, tuberculose).
- Fièvre dans les jours précédant le rendez-vous ou le jour même.
- Si vous êtes porteur d’un pacemaker.
Antécédents cutanés
- Infection, lésion, plaie… dans la zone que vous souhaitez épiler.
- Cancer de la peau.
- Bronzage récent.
- Problème de cicatrisation (chéloïdes ou cicatrices hypertrophiques).
Prises médicamenteuses
- Traitements limitant l’action de votre système immunitaire.
- Chimiothérapie.
- Corticoïdes pris sur de grandes périodes avec troubles cutanés secondaires.
Dans certains cas, il n’est pas possible d’utiliser la xylocaïne :
- Troubles cardiaques ou traitement par bêtabloquants.
- Insuffisance rénale ou hépatique.
- Traitement par cimétidine.
- Porphyrie.
L’anesthésie locale se fait par lidocaïne (xylocaïne). Dans ces cas, elle ne sera pas pratiquée.
L’épilation électrique est la seule épilation que l’on considère définitive pour toutes les carnations et tous les types de poils. Il est possible de se faire épiler à n’importe quel moment de l’année en restant à l’abri du soleil. Il n’y a aucun risque de repousse paradoxale et le traitement ne laisse pas de marques sur le corps.
Pour des zones différentes ou à des temps différents du traitement, il est possible d’y associer une :
- Épilation laser.
- Épilation LPI.
Ces méthodes sont indiquées uniquement sur certains poils et certaines zones. Elles sont privilégiées lorsque la zone est étendue, sur les poils foncés et épais et uniquement lorsque la zone n’est pas à risque de repousse paradoxale. Dans tous les autres cas l’épilation électrique est préférée.
L’épilation par électrolyse est la seule option définitive si les poils ne sont pas noirs (clairs, blancs…). Dans le cas de poils foncés et dans des zones non risquées, l’épilation par laser ou lumière pulsée peut être une bonne alternative.
- Dans le cadre d’une affection de longue durée exonérante (ALD), l’épilation électrique peut être remboursée, sous conditions, par la sécurité sociale.